jeudi 21 mai 2015

Plus de 60% des Français favorables à l'impôt prélevé à la source



Plus de 60% des Français sont favorables à un prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu, une idée vers laquelle le gouvernement voudrait aller progressivement afin de "simplifier le recouvrement de l'impôt", assure un sondage de Tilder-LCI-OpinionWay diffusé jeudi.




Au total, 62% des personnes interrogées les 20 et 21 mai se sont dites favorables "à la mise en place du prélèvement à la source pour l'impôt sur le revenu, c'est-à-dire à son paiement directement par prélèvement sur [la] fiche de paye [ou la] pension de retraite", a détaillé Tilder. 37% y sont opposés.






Le sondage Tilder a été réalisé sur un échantillon représentatif de 990 personnes, selon la méthode des quotas, interrogées en ligne.


Mercredi à la sortie du conseil des ministres, le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll a indiqué que l'exécutif voulait se diriger progressivement vers un prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu, sans toutefois fixer d'échéance.


"L'idée est d'aller vers une simplification du recouvrement de l'impôt, avec la mise en oeuvre progressive dans le cadre de la simplification des feuilles de paie et du numérique de la retenue à la source, sans fusion" avec la CSG, a-t-il déclaré.


Quant à la date à laquelle pourrait être mis en oeuvre ce prélèvement à la source, évoqué, selon lui, mardi par François Hollande lors d'un discours à Carcassonne, "tout l'enjeu en termes politiques est de rester sur des objectifs et de ne pas affoler les gens", a-t-il observé, affirmant que le gouvernement prendrait "le temps nécessaire".


Menée par le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, la motion majoritaire du parti dans le cadre de son congrès de Poitiers, du 5 au 7 juin, défend également la remise en route du "chantier de l'impôt citoyen" dès "le projet de budget pour 2016", avec "un prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu et une réduction de la CSG sur les premières tranches de revenus".


Interrogé sur ce point, le porte-parole du gouvernement a assuré mercredi qu'il ne s'agissait "pas d'une opération de congrès", mais d'un projet visant "à simplifier" le prélèvement de l'impôt

Portugal: les salariés des transports dans la rue pour contrer les privatisations



Des centaines de Portugais ont manifesté bruyamment jeudi à Lisbonne contre les privatisations dans le secteur des transports, dont celle de la compagnie aérienne TAP, accusant le gouvernement de brader les entreprises stratégiques du pays.






"Privatiser, c'est voler", "les transports privés sont plus chers", ou encore "le secteur public appartient à tous, le privé uniquement à certains", ont scandé les manifestants devant le Parlement portugais, rassemblés à l'appel du syndicat des transports (Fectrans).



"On ne sait pas ce qu'on va devenir", s'inquiète Vitor Baeta, 60 ans, mécanicien de TAP Portugal, avant de reprocher au gouvernement de "privatiser toutes les entreprises stratégiques du pays".


Le gouvernement de centre droit a lancé en novembre la privatisation de 66% de la compagnie aérienne nationale TAP Portugal, et a annoncé vendredi avoir reçu trois offres.


Mardi, une énième grève de 24 heures avait paralysé le métro de Lisbonne, alors que l'exploitation des transports en commun de la capitale portugaise doit être confiée à des sociétés privées.


"Une fois privatisés, les transports de Lisbonne cesseront d'être au service des habitants et seront uniquement tournés vers les touristes", estime Ricardo Alves, 39 ans, chauffeur de bus de la compagnie lisboète Carris.


A Porto, le métro a délégué fin avril l'exploitation et la maintenance de son réseau à un consortium espagnol et, en mars, le gouvernement portugais a lancé la privatisation de la filiale pour le fret des chemins de fer (CP Carga) et d'une société d'entretien des rails (Emef).






Drahi tire des câbles jusqu’aux Etats-Unis







Le magnat des télécoms français part à l’abordage du marché américain des câblo-opérateurs. Son holding, Altice, vient d’acquérir 70 % de Suddenlink avec sa méthode éprouvée : le financement par la dette.





Après l’Europe, le nouveau magnat des télécoms Patrick Drahi - par ailleurs actionnaire de Libération poursuit sa boulimie d’emplettes outre-Atlantique. Son holding Altice vient d’annoncer mercredi le rachat de 70% de Suddenlink 


Communications, le septième câblo-opérateur américain valorisé 9,1 milliards de dollars (8,1 milliards d’euros) par l’opération.«Notre investissement dans Suddenlink, le premier dans le secteur du câble aux Etats-Unis, ouvre une voie industrielle et stratégique attractive pour Altice, sur l’un des plus grands et dynamiques marchés de la communication au monde», s’est réjoui Dexter Goei, le directeur général du groupe.






Inégalités dans l'OCDE : "Nous avons atteint un point critique" (Angel Gurría)



Dans la plupart des 34 pays membres de l'OCDE, considérés comme des pays "développés, le constat est le même : selon un rapport de l'organisation publié ce jeudi, les inégalités s'accroissent toujours plus entre les populations riches et les populations pauvres. Pire, elles sont parfois plus importantes que dans beaucoup d'économies émergentes.





Ce constat n'est pas nouveau, mais il apparaît clairement, à la lumière des statistiques fournies dans le rapport : en 2015, dans la zone OCDE, les 10% les plus riches de la population ont, en moyenne, un



revenu près de dix fois supérieur (9,6) à celui des 10% les plus pauvres. La proportion était de 7,1 en 1980. Et ce fossé est encore plus important si l'on tient compte du patrimoine.




Parmi les mauvais élèves, le Chili, le Mexique, la Turquie, les Etats-Unis et Israël sont pointés du doigt. Au contraire des Danois, des Slovènes, des Slovaques et des Norvégiens, plutôt bons élèves.















Une situation "critique" et un frein à la croissance






Présent à Paris pour détailler ce rapport, le secrétaire général de l'OCDE, le Mexicain Angel Gurría, se veut très clair : "Nous avons atteint un point critique. Les inégalités dans les pays de l'OCDE n'ont jamais été aussi élevées depuis que nous les mesurons". Une alerte lancée notamment à l'intention des dirigeants politiques : "En ne s'attaquant pas au problème des inégalités, les gouvernements affaiblissent le tissu social dans leur pays et compromettent leur croissance économique à long terme".


On estime en effet qu'à force de refuser de réduire ce fossé entre riches et pauvres, les pays de l'OCDE ont perdu, entre 1985 et 2005, près de 5 points d'une croissance tant chérie par leurs gouvernements respectifs.


Rédui


re les inégalités entre hommes et femmes pour stimuler l'activité


Car là aussi, les inégalités demeurent. Selon le rapport, leur salaire demeure 15% inférieur à celui de leurs homologues masculins. Par ailleurs, elles sont toujours moins susceptibles d'occuper un poste rémunéré que les hommes.


Enfin, le texte recommande d'élargir l'accès à des emplois plus stables, et de poursuivre les investissements dans la formation et l'éducation.

Airbus a identifié un point faible sur l’A400M



Le constructeur n’a pas fait de lien avec le crash du 9 mai.

Les mauvaises nouvelles volent en escadrille. Après le crash d’un avion A400M, le 9 mai en Espagne, qui a fait quatre morts, Airbus Defence and Space a recommandé mardi aux armées possédant son gros-porteur de procéder urgemment à des vérifications. La note d’alerte «demande 

aux exploitants d’effectuer des contrôles spécifiques et réguliers de l’ECU»,l’unité de contrôle électronique qui sert à réguler les quatre moteurs de l’appareil.


Le moteur a toujours été le point faible de cet avion. Entièrement développé par trois industriels européens, il a entraîné d’importants surcoûts et trois ans de retard. Maigre satisfaction, cette nouvelle faiblesse serait un défaut de fabrication et non de conception de l’appareil. Même si Airbus n’établit pas de lien avec l’accident du début du mois, l’annonce fait très mauvais effet. Après le crash, l’Allemagne, le Royaume-Uni, la Turquie et la Malaisie avaient cloué leurs A400M au sol, la France les autorisant uniquement à prendre l’air pour les vols «prioritaires en opérations» militaires.

Sauver la planète, un coût mais aussi une source d'économies pour les entreprises



Les entreprises, qui veulent sauver la planète et leurs activités, vont devoir accélérer le rythme des innovations, pour réduire les émissions de CO2, par des investissements souvent coûteux, mais qui s'accompagnent de mesures qui permettent des économies.

"Les entreprises se sont aperçues que l'écologie rime avec l'économie", a souligné Jean-Pascal Tricoire, PDG de Schneider Electric, et président de United Nations Global Compact, lors d'une table ronde de la Business and Climate Week, qui réunit des chefs d'entreprises venus de 50 pays, mercredi et jeudi à Paris.






Leur objectif: peser sur les négociations de la grande conférence climat de décembre à Paris, la COP21, et demander aux dirigeants politiques de les soutenir, par des politiques adaptées, dans leurs investissements et développements de solutions propres.


Pourtant, "la recherche et développement dans les énergies vertes est aujourd'hui plus faible que dans les années 1970, après le premier choc pétrolier", notent Pascal Canfin, conseiller du World Ressources Institute (WRI) et ancien ministre, et Peter Staine, négociateur climat, dans leur livre "Climat, 30 questions pour comprendre la conférence de Paris".


"Il y a sans doute certains coûts liés à l'innovation, (...) (mais) si vous ne cherchez pas à innover, vous resterez loin derrière", a expliqué à l’ADP Aaron Cramer, PDG du réseau international d'entreprises dédié au développement durable, BER (Business for Social Responsabilité), qui revendique 250 membres.


Pour lui, les innovations vertes ne sont pas différentes des autres: "Les entreprises s'adaptent en permanence à de nouveaux paradigmes. Dans les 30 dernières années, elles ont dû s'adapter à des chaînes d'approvisionnement devenues mondiales, (...) à la révolution digitale, à la révolution mobile."


"Le climat est juste l'une" de ces "perturbations", ajoute-t-il.


Ainsi, le prix des solutions plus durables, dans le solaire par exemple, ne cesse de diminuer, mais doit encore baisser, pour que ces produits soient plus largement abordables.


- Une économie, et pas un coût -


Aron Cramer voit néanmoins "énormément d'opportunités pour les entreprises à supprimer le gaspillage. Aux Etats-Unis, dans la majeure partie de l'Europe, environ un tiers de l'eau, de l'énergie et de la nourriture produites et mises en vente sont jetées et ne servent à personne. C'est une très mauvaise idée pour l'économie, mais c'est également une terrible idée pour les consommateurs, ainsi que pour les affaires, c'est juste de l'argent gaspillé".


"Le coût de la réduction des émissions de CO2 n'est pas un coût additionnel, cela fait partie de notre métier", a également expliqué le PDG de Carrefour, Georges Plassat, mercredi lors d'une table ronde.


Le patron du groupe de distribution afait état d'actions mises en place par l'entreprise et visant, par exemple, à réduire les fuites de fluides réfrigérants pour limiter la consommation, ou, dans la logistique, à mettre à jour les règles de préparation des palettes et fréquences de livraison, optimiser le volume de remplissage des camions, etc.


"Ce n'est pas un coût, c'est même une économie. On va vers un abaissement des coûts", avait renchéri Christiana Figueres, secrétaire exécutive de la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques.


"Il ne faut plus que la responsabilité soit plus chère (pour le consommateur) (...) C'est ça l'objectif véritable", avait-elle ajouté.


Marcelo Strufaldi Castelli, PDG de l'entreprise papetière brésilienne Fibra, souligne que "les consommateurs ne veulent pas payer plus pour des produits verts".


Dans un récent rapport, la commission mondiale sur l'économie et le climat explique que "les gains de productivité sur le long terme et le développement de nouveaux produits sont déterminés par les tendances dans l'innovation. Elle rend également possible la poursuite de la croissance de nos économies dans un monde aux ressources limitées".

Les tarifs réglementés du gaz vont baisser de 0,5% au 1er juin



Les tarifs réglementés du gaz vont baisser de 0,5% au 1er juin en moyenne. Cela représente un recul moyen de près de 6% depuis le début de l'année.













Environ 7,5 millions de foyers sont concernés par les prix réglementés du gaz. Ils peuvent être assurés que leurs factures vont baisser en juin, comme le mois précédent. Depuis janvier, le recul moyen s'établit à 5,8%.


Une baisse conforme aux prévisions


La Commission de régulation de l’énergie (CRE) avait annoncé début mai "une légère baisse" des tarifs réglementés du gaz au 1er juin, appliqués par le fournisseur historique Engie (ex-GDF Suez). Cette diminution a été chiffrée jeudi et elle correspond à une baisse de 0,5% en moyenne.

Ce recul des tarifs est lié "au repli des cours du pétrole et à la quasi stabilité des marchés du gaz" avait analysé la CRE dans ses prévisions. Les indices du marché du gaz pèsent pour près de 60% dans la formule qui sert au calcul de l'évolution des tarifs réglementés du gaz. Une autre variable intervient dans ces calculs. Il s’agit de la moyenne des indices des prix pétroliers relevés sur les huit mois précédents.

Au 1er mai, les tarifs avaient baissé de 1,16% en moyenne, après une hausse de 0,58% en avril. Depuis janvier, la baisse moyenne approche 6%.

La Corse veut limiter le droit de devenir propriétaire aux résidents de plus de cinq ans



L'Assemblée régionale a voté vendredi un voeu réservant la propriété de logements et de terrains sur l'île aux résidents permanents depuis plus de cinq ans. Le caractère constitutionnel de la mesure fait débat.

"L'île de Beauté" se referme. Afin de contrer la flambée des prix et la spéculation foncière et immobilière qui affectent ses terres, l'Assemblée de Corse a adopté vendredi un voeu prévoyant l'obligation de justifier d'un statut de résident permanent d'au moins cinq ans pour devenir 

propriétaire d'un logement ou d'un terrain.


Le fléau des résidences secondaires


Quatre logements sur dix sont en effet en Corse des résidences secondaires, appartenant généralement à des continentaux ou à des étrangers qui les ouvrent seulement quelques mois par an. La...










Fleur Pellerin justifie la réintégration d'Agnès Saal au ministère de la Culture



L'ex-présidente de l'INA avait été épinglée pour d'importantes dépenses de taxis.


Poussée à la démission de son poste de présidente de l'INA fin avril, Agnès Saal a été réintégrée au ministère de la Culture, suscitant de vives réactions au sein de l'opinion publique. Interrogée ce matin sur RTL, la ministre Fleur Pellerin a dit "comprendre" tout en précisant qu'il "s'agissait uniquement de l'application du droit de la Fonction publique". "Il prévoit que lorsqu'un fonctionnaire démissionne 

lorsqu'il est à l'extérieur de son corps d'origine, il a vocation à être réintégré", a-t-elle fait valoir.


40.000 euros de frais de déplacements


Pour mémoire, Agnès Saal a été contrainte de quitter ses fonctions à l'INA à la suite de révélations concernant d'importantes dépenses de taxis. Selon un courrier anonyme envoyé à tous les membres du Conseil d'administration de l'INA, la présidente qui était alors en poste depuis dix mois aurait déboursé 40.000 euros, dont 7.000 euros pour un abonnement à la compagnie G7 et 33.000 euros dans des déplacements divers.




"Il y a eu sanction"

"Il ne faut pas donner l'impression qu'elle n'a pas été sanctionnée. Elle était présidente de l'INA, elle est aujourd'hui chargée de mission, ce qui est une vraie sanction", a par ailleurs fait valoir la ministre. Un conseil de discipline sera chargé de décider des sanctions à donner suite à cette affaire, a précisé Fleur Pellerin.


La Google Car, créneau à suivre

Le géant américain du Net va tester sa mini-voiture autonome sur le bitume californien cet été. Stimulant ainsi la concurrence.

L’annonce, faite vendredi sur le blog officiel de Google, n’est pas passée inaperçue : «Cet été, quelques-uns des prototypes que nous avons créés quitteront la piste d’essai pour aller sur les routes de Mountain View, Californie», a écrit Chris Urmson, le responsable du projet de véhicule autonome du géant du Net. La voiture sans conducteur, ce vieux fantasme de science-fiction, est en passe de 

devenir une réalité sur le plan technologique. Mais son arrivée sur le bitume n’est pas pour tout de suite et les questions - pratiques et juridiques - qu’elle pose sont loin d’être toutes réglées.

La Google car, comment ça marche ?


Sous ses dehors de voiture-jouet ronde comme un œuf, la petite Google Car électrique du groupe californien est un concentré de capteurs et d’intelligence artificielle. Elle embarque un système de télédétection par laser (dit «Lidar») posté sur le toit du véhicule, d’une portée de 60 mètres, qui lui permet de cartographier son environnement en trois dimensions. S’y ajoutent des radars à l’avant et à l’arrière, une caméra près du rétroviseur intérieur, un récepteur GPS et des capteurs sur les roues motrices. Et, bien sûr, des cartes et un logiciel qui lui permettent de réagir en fonction des obstacles et de la signalisation qu’elle rencontre sur son trajet.


Les prototypes élaborés par Google n’ont ni volant ni pédales d’accélérateur ou de frein. Mais ceux qui seront testés en plein air, eux, en seront pourvus pour que les ingénieurs à bord puissent, le cas échéant, reprendre la main. Et leur vitesse sera limitée à 40 km/h.


Quid de la sécurité ?


En début de semaine dernière, la firme de Mountain View a révélé les chiffres d’accidents concernant sa flotte de 20 Lexus équipées de la même technologie, qui circulent depuis six ans. Les voitures ont été impliquées dans 11 accidents «mineurs» qui n’ont pas entraîné de blessures, tous dus à des conducteurs d’autres véhicules. De manière générale, «94% des accidents sont causés par une erreur humaine», ajoute Chris Urmson. Reste que la voiture autonome à 100% n’est pas encore prête. S’il est aujourd’hui possible de déléguer la conduite sur autoroute, c’est une autre paire de manches que de rouler dans un embouteillage, sous la neige, dans un environnement urbain rempli de piétons à même de bloquer le véhicule pendant des heures, dans des zones de travaux ou même de se garer. Sans parler de la capacité d’une automobile sans conducteur à suivre les indications d’un agent de la circulation… Enfin, la voiture autonome étant, par définition, connectée, la question de la sécurité des réseaux va se poser de plus en plus crûment. Que se passerait-il si un pirate malveillant s’introduisait dans le système pour prendre le volant des Google Cars ?


Qui d’autre est sur les rangs ?


A peu près tout le monde. Les principaux constructeurs automobiles - de BMW à Toyota, en passant par Tesla, le champion de la voiture électrique - se sont positionnés sur le créneau. Déjà, l’Infiniti Q50 de Nissan et les Classe C et Classe S de Mercedes permettent de déléguer une partie de la conduite. En septembre, General Motors a annoncé la commercialisation d’une Cadillac semi-autonome dès 2017. Et Carlos Ghosn, le PDG de Renault-Nissan, entend proposer la conduite autonome sur autoroute en 2018, et en ville dès 2020.


Mais sur ce terrain, les constructeurs devront compter avec la concurrence des géants de la Silicon Valley. Car Google n’est manifestement pas le seul à plancher sur le sujet : en février, le Financial Times rapportait qu’Apple aurait à son tour lancé, dans un laboratoire secret, des recherches sur un programme de voiture électrique sans conducteur, sous le nom de «projet Titan». Ce que la firme à la pomme n’a toujours pas officiellement confirmé, même si l’extension annoncée de son implantation en Irlande fait phosphorer les observateurs.


La voiture sans conducteur, c’est pour demain ?


Pas tout à fait. Outre les problèmes techniques et de sécurité qui restent à régler, le coût est évidemment un obstacle : le système de télédétection par laser de la Google Car coûte à lui seul la bagatelle de 70 000 dollars (plus de 61 000 euros), même si des modèles moins onéreux commencent à voir le jour. Autre problème épineux : la responsabilité juridique. Qui, du propriétaire (qui ne conduisait pas), du constructeur ou du fabricant du logiciel embarqué devra payer la facture en cas d’accident ?


Enfin, l’obstacle législatif n’est pas le moindre à lever. Seuls certains Etats américains, comme le Nevada ou la Floride, ainsi que le Canada autorisent la circulation de voitures sans conducteur. En Europe, d’après la convention de Vienne de 1968, «tout conducteur doit constamment avoir le contrôle de son véhicule». Le texte est en cours d’amendement depuis l’an dernier pour permettre la circulation de ces voitures… à condition que le conducteur ait à tout moment la capacité d’en reprendre le contrôle. Ce qui ouvre effectivement la voie aux véhicules semi-autonomes, mais pas à ceux qui se déplaceraient sans aucune intervention humaine.


En tout état de cause, la France prévoit, dans le cadre des plans de la «Nouvelle France industrielle», des essais sur route ouverte dès cette année. Mais la voiture qui vous ramènera toute seule à l’issue d’une soirée un peu trop arrosée n’est pas pour tout de suite.


























Les taxis ne veulent pas du forfait Paris-aéroport



Ils se sont mobilisés ce matin pour demander au gouvernement de ne pas envisager cette mesure.

Plusieurs syndicats de taxis avaient appelé à un rassemblement ce jeudi matin devant la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) afin de protester contre la mise en place d'une tarification forfaitaire voulue par le gouvernement pour les courses entre Paris et les aéroports.

Préconisation du rapport Thévenoud


Cette mesure figurait dans le rapport Thévenoud remis l'an dernier au ministère de l'Economie et qui devait régler les différends entre chauffeurs de taxis et les voitures de tourisme avec chauffeurs (VTC) comme Uber. Selon les auteurs du document, l'absence de forfait très répandue à l'étranger, "décourage l'utilisation du taxi". Or, "son instauration permettrait une meilleure information des clients, notamment étrangers".


Des courses à perte ?


Les chauffeurs de taxis ne sont pourtant pas de cet avis, bien au contraire et estiment que la tarification actuelle - clairement affichée dans le véhicule - est juste car elle correspond au nombre de kilomètres parcourus et au temps passé dans le taxi. "Avec la mise en place d'une tarification forfaitaire, les chauffeurs devront accepter de travailler la nuit et le jour pour le même prix, les jours ouvrés et le dimanche et les jours fériés aux mêmes tarifs", déplore la CGT dans un communiqué.














samedi 16 mai 2015

La ville de Tanger au Maroc Nouvelle vue 2015



La ville de Tanger au Maroc Nouvelle vue 2015




Comme d'autres villes dans le monde, qui est situé au carrefour du commerce et de la civilisation, de la ville de Tanger n'est pas répétée : il est situé à la confluence de la mer Méditerranée à l'océan Atlantique, et entre le continent européen et les pays africains. Mais en échange de la grande valeur du tourisme est la ville des villes les plus importantes de l'Afrique en général et le Maroc en particulier, qui déborde les banques et les sociétés qui sont devenues economique tous donnant sur le pittoresque port de nouveau. En raison de la richesse économique transformé en l'un des centres culturels les plus importants de l'Afrique, où vous pouvez trouver où les galeries d'art, théâtres, musique, musées, associations culturelles célèbre. Il s'agit d'un comité de la climat méditerranéen modéré d'une part, par rapport à la conjoncture dans la plupart des pays arabes. Les températures maximales peuvent être jusqu'à 28 en août / Août, et le plus bas 8 degrés en Janvier / Janvier vent où un permanent tout au long de l'année, en raison de son emplacement dans le détroit de Gibraltar, et Lekhal un debout quand la côte que la voix de Tariq Ibn Ziyad est toujours fréquenté avec le vent : " mer de avant de vous ..." plus anciennes villes fondées par les berbères du Maroc, et tout au long de l'histoire a maintes fois percés et encore une fois, où l'ancienne Psorha entoure jour 13 Baba et le nombre de tours qui sont encore fraîches de la journée. Il est aujourd'hui le centre de la grande diversité culturelle, Afrique-Europe pour induire vous de inutile le premier moment sur l'itinérance et découvrir la mystérieuse ruelles. Vous pouvez plonger dans les ruelles avant de vous rendre aux grottes d'Hercule, situé à 14 km de la ville et profiter de la magnifique nature des rares là-bas, surtout le fait que les logements grottes surplombant l'océan Atlantique, qui envoie l'eau.

















s'écoulant dans ces ouvertures dans la scène captivante. "Casbah " à Tanger est obligatoire pour chacune des choses touristes amoureux du tourisme, c'est l'une des plus importante ville a à offrir pour lentilles de caméra. Il est situé sur le point le plus haut de la ville, y compris les opinions sur ce que vous voulez, juste en bas de l'Espagne. C'est une rare dans le monde où vous pouvez les regarder en même temps, les deux pays. Derrière la scène de grande maison située store (ou Palais de la trachée), qui a été l'du manoir du gouverneur dans le dix-septième siècle, et est aujourd'hui un musée qui vaut une visite pour découvrir cette ville. Grand Marché est situé au nord de la ville, un centre de jour et un grand confluent avec cafés ne devraient pas être ignorés vous jamais, mais vous avez à Tbdúa votre tour de elle. C'est le véritable esprit de l'endroit et les gens d'Tanger (qu'il écrit à propos de Mohamed Choukri dans son célèbre roman "Bread Alone"), un lieu dans lequel il a déclaré le Roi Mohammed V du Maroc à l'indépendance en oubliant / avril 1947. De là, ils sont allés à la "ville" (vieille ville), qui se compose d'un grand marché et petit marché. L'architecture, de la construction et de routes et Alozkh- sont amusantes à regarder, qui s'étend le long de la patch "ville" large lui-même. Ici vous pouvez faire tous les achats pour les besoins de traditionnel et de souvenirs. Université de mosquées au centre de Tanger et aussi grande que la grande mosquée et la mosquée de la nouvelle mosquée et de la Kasbah, et à son église en espagnol. Comme pour les musées, les centres culturels Vtgdon Musée d'art islamique et le siège de la mission d'Amérique (l'ambassade américaine),

vendredi 24 avril 2015

Les meilleurs hôtels et attractions touristiques en Grèce



Les meilleurs hôtels et attractions touristiques en Grèce


avec de nombreuses îles et les eaux bleues turquoises bénéficie également de la Grèce Ensemble de meilleures plages.


au monde et qu'il y a beaucoup de très beaux resorts et qui déconcerte de choix, et d'aider nos lecteurs à réduire les choix et déterminée Nous avons recueilli pour vous certaines des meilleures stations balnéaires en Grèce.

























Les meilleurs hôtels en Grèce:


Porto San Valedj Porto Sani Village Resort, et est un centre de villégiature de luxe situé à proximité de l'unité VCU à la plage et Sani Oestirias, ses nombreux cafés et restaurants, et est l'un des meilleurs centres de villégiature de Grèce, il y a une piscine sur une piscine en forme de lagon pour enfants seulement et plus tard pour adultes, a aussi un club de santé complet.


Adriana Beach Resort adrina beach, et est situé sur une plage privée à proximité Banurmu sur l'île de Skopelos, avec une piscine d'eau salée et il y a rassemblement pour ceux qui préfèrent passer du temps sur l'océan, et le centre de villégiature offre des plages et placement libre, et possède un centre de fitness.


Rhodes Palladium Resort Rodos Palladium, un resort vraiment étonnant situé sur la plage de Kallithea à Rhodes, et par de nombreuses Nosaúl confort et y compris une piscine couverte et un centre de balnéothérapie et de fitness et des courts de tennis et de basketball et d'un mini parcours de golf et le centre de villégiature est situé à proximité du plus grand parc aquatique d'Europe.


Kontakla Bay Resort Kontokali Bay, et est un centre de villégiature et centre thermal situé sur l'île de Corfou, qui se promène dans un magnifique complexe hôtelier, le complexe de villégiature propose une piscine chauffée et un terrain de jeu pour les enfants et les tribunaux et un spa et centre de remise en forme et un jacuzzi et deux saunas.


Palazzo del Mare plalazzo del Mare Resort, et est un grand hôtel est situé sur une plage privée de l'île, vous pourrez accéder à la piscine de la station depuis le balcon de leur chambre et dispose d'une piscine chauffée et une salle de conditionnement physique et deux courts de tennis et un club de santé à services complets et un terrain de jeux pour enfants .














Alesom elysium Resort, un élégant complexe hôtelier moderne situé sur la plage de Kallithea Rhodes, par le lac la natation en eau libre et des massages et un spa et centre de remise en forme et un exercice en plein air et un parcours de golf et des courts de tennis, un club de santé Stadium de l'air.


Horizon Beach Horizon Beach Resort, situé sur la mer Égée dans le KOS, avec deux piscines pour adultes et deux pour les jeunes et un centre de remise en forme et des courts de tennis et de basketball et un autre pour jouer au volley-ball.


Cassandra Bay Hôtel Kassandra Bay Resort, et est situé dans l'île de Skiathos et ses 2 piscines d'eau salée en plein air et un bassin pour enfants et un spa avec massages et soins du visage, et a une eau taxi voyages loin de l'hôtel.


Atlantica kalliston Kaliston atlantica resort, et est situé à proximité de la ville historique de Crète, ambiance romantique, et vous pourrez avoir directement accès aux piscines des chambres et dispose de 3 piscines, dont une avec hydro-massage possède également un spa, un sauna, une salle de gym et un centre de fitness et nager à la vapeur.


Nana Beach Hôtel nano beach resort, et est situé dans l'île de Crète, dans la mer de Crète dans le voisinage des lieux les plus célèbres de Crète, et dispose d'une aire de jeux pour les enfants avec terrain de jeux et parc aquatique et ses 7 piscines et terrasses de divertissement et club de santé avec services complets et plan de balle de golf.






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