dimanche 21 février 2016

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رودينا 19 سنة

jeudi 21 mai 2015

Plus de 60% des Français favorables à l'impôt prélevé à la source



Plus de 60% des Français sont favorables à un prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu, une idée vers laquelle le gouvernement voudrait aller progressivement afin de "simplifier le recouvrement de l'impôt", assure un sondage de Tilder-LCI-OpinionWay diffusé jeudi.




Au total, 62% des personnes interrogées les 20 et 21 mai se sont dites favorables "à la mise en place du prélèvement à la source pour l'impôt sur le revenu, c'est-à-dire à son paiement directement par prélèvement sur [la] fiche de paye [ou la] pension de retraite", a détaillé Tilder. 37% y sont opposés.






Le sondage Tilder a été réalisé sur un échantillon représentatif de 990 personnes, selon la méthode des quotas, interrogées en ligne.


Mercredi à la sortie du conseil des ministres, le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll a indiqué que l'exécutif voulait se diriger progressivement vers un prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu, sans toutefois fixer d'échéance.


"L'idée est d'aller vers une simplification du recouvrement de l'impôt, avec la mise en oeuvre progressive dans le cadre de la simplification des feuilles de paie et du numérique de la retenue à la source, sans fusion" avec la CSG, a-t-il déclaré.


Quant à la date à laquelle pourrait être mis en oeuvre ce prélèvement à la source, évoqué, selon lui, mardi par François Hollande lors d'un discours à Carcassonne, "tout l'enjeu en termes politiques est de rester sur des objectifs et de ne pas affoler les gens", a-t-il observé, affirmant que le gouvernement prendrait "le temps nécessaire".


Menée par le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, la motion majoritaire du parti dans le cadre de son congrès de Poitiers, du 5 au 7 juin, défend également la remise en route du "chantier de l'impôt citoyen" dès "le projet de budget pour 2016", avec "un prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu et une réduction de la CSG sur les premières tranches de revenus".


Interrogé sur ce point, le porte-parole du gouvernement a assuré mercredi qu'il ne s'agissait "pas d'une opération de congrès", mais d'un projet visant "à simplifier" le prélèvement de l'impôt

Portugal: les salariés des transports dans la rue pour contrer les privatisations



Des centaines de Portugais ont manifesté bruyamment jeudi à Lisbonne contre les privatisations dans le secteur des transports, dont celle de la compagnie aérienne TAP, accusant le gouvernement de brader les entreprises stratégiques du pays.






"Privatiser, c'est voler", "les transports privés sont plus chers", ou encore "le secteur public appartient à tous, le privé uniquement à certains", ont scandé les manifestants devant le Parlement portugais, rassemblés à l'appel du syndicat des transports (Fectrans).



"On ne sait pas ce qu'on va devenir", s'inquiète Vitor Baeta, 60 ans, mécanicien de TAP Portugal, avant de reprocher au gouvernement de "privatiser toutes les entreprises stratégiques du pays".


Le gouvernement de centre droit a lancé en novembre la privatisation de 66% de la compagnie aérienne nationale TAP Portugal, et a annoncé vendredi avoir reçu trois offres.


Mardi, une énième grève de 24 heures avait paralysé le métro de Lisbonne, alors que l'exploitation des transports en commun de la capitale portugaise doit être confiée à des sociétés privées.


"Une fois privatisés, les transports de Lisbonne cesseront d'être au service des habitants et seront uniquement tournés vers les touristes", estime Ricardo Alves, 39 ans, chauffeur de bus de la compagnie lisboète Carris.


A Porto, le métro a délégué fin avril l'exploitation et la maintenance de son réseau à un consortium espagnol et, en mars, le gouvernement portugais a lancé la privatisation de la filiale pour le fret des chemins de fer (CP Carga) et d'une société d'entretien des rails (Emef).






Drahi tire des câbles jusqu’aux Etats-Unis







Le magnat des télécoms français part à l’abordage du marché américain des câblo-opérateurs. Son holding, Altice, vient d’acquérir 70 % de Suddenlink avec sa méthode éprouvée : le financement par la dette.





Après l’Europe, le nouveau magnat des télécoms Patrick Drahi - par ailleurs actionnaire de Libération poursuit sa boulimie d’emplettes outre-Atlantique. Son holding Altice vient d’annoncer mercredi le rachat de 70% de Suddenlink 


Communications, le septième câblo-opérateur américain valorisé 9,1 milliards de dollars (8,1 milliards d’euros) par l’opération.«Notre investissement dans Suddenlink, le premier dans le secteur du câble aux Etats-Unis, ouvre une voie industrielle et stratégique attractive pour Altice, sur l’un des plus grands et dynamiques marchés de la communication au monde», s’est réjoui Dexter Goei, le directeur général du groupe.






Inégalités dans l'OCDE : "Nous avons atteint un point critique" (Angel Gurría)



Dans la plupart des 34 pays membres de l'OCDE, considérés comme des pays "développés, le constat est le même : selon un rapport de l'organisation publié ce jeudi, les inégalités s'accroissent toujours plus entre les populations riches et les populations pauvres. Pire, elles sont parfois plus importantes que dans beaucoup d'économies émergentes.





Ce constat n'est pas nouveau, mais il apparaît clairement, à la lumière des statistiques fournies dans le rapport : en 2015, dans la zone OCDE, les 10% les plus riches de la population ont, en moyenne, un



revenu près de dix fois supérieur (9,6) à celui des 10% les plus pauvres. La proportion était de 7,1 en 1980. Et ce fossé est encore plus important si l'on tient compte du patrimoine.




Parmi les mauvais élèves, le Chili, le Mexique, la Turquie, les Etats-Unis et Israël sont pointés du doigt. Au contraire des Danois, des Slovènes, des Slovaques et des Norvégiens, plutôt bons élèves.















Une situation "critique" et un frein à la croissance






Présent à Paris pour détailler ce rapport, le secrétaire général de l'OCDE, le Mexicain Angel Gurría, se veut très clair : "Nous avons atteint un point critique. Les inégalités dans les pays de l'OCDE n'ont jamais été aussi élevées depuis que nous les mesurons". Une alerte lancée notamment à l'intention des dirigeants politiques : "En ne s'attaquant pas au problème des inégalités, les gouvernements affaiblissent le tissu social dans leur pays et compromettent leur croissance économique à long terme".


On estime en effet qu'à force de refuser de réduire ce fossé entre riches et pauvres, les pays de l'OCDE ont perdu, entre 1985 et 2005, près de 5 points d'une croissance tant chérie par leurs gouvernements respectifs.


Rédui


re les inégalités entre hommes et femmes pour stimuler l'activité


Car là aussi, les inégalités demeurent. Selon le rapport, leur salaire demeure 15% inférieur à celui de leurs homologues masculins. Par ailleurs, elles sont toujours moins susceptibles d'occuper un poste rémunéré que les hommes.


Enfin, le texte recommande d'élargir l'accès à des emplois plus stables, et de poursuivre les investissements dans la formation et l'éducation.

Airbus a identifié un point faible sur l’A400M



Le constructeur n’a pas fait de lien avec le crash du 9 mai.

Les mauvaises nouvelles volent en escadrille. Après le crash d’un avion A400M, le 9 mai en Espagne, qui a fait quatre morts, Airbus Defence and Space a recommandé mardi aux armées possédant son gros-porteur de procéder urgemment à des vérifications. La note d’alerte «demande 

aux exploitants d’effectuer des contrôles spécifiques et réguliers de l’ECU»,l’unité de contrôle électronique qui sert à réguler les quatre moteurs de l’appareil.


Le moteur a toujours été le point faible de cet avion. Entièrement développé par trois industriels européens, il a entraîné d’importants surcoûts et trois ans de retard. Maigre satisfaction, cette nouvelle faiblesse serait un défaut de fabrication et non de conception de l’appareil. Même si Airbus n’établit pas de lien avec l’accident du début du mois, l’annonce fait très mauvais effet. Après le crash, l’Allemagne, le Royaume-Uni, la Turquie et la Malaisie avaient cloué leurs A400M au sol, la France les autorisant uniquement à prendre l’air pour les vols «prioritaires en opérations» militaires.

Sauver la planète, un coût mais aussi une source d'économies pour les entreprises



Les entreprises, qui veulent sauver la planète et leurs activités, vont devoir accélérer le rythme des innovations, pour réduire les émissions de CO2, par des investissements souvent coûteux, mais qui s'accompagnent de mesures qui permettent des économies.

"Les entreprises se sont aperçues que l'écologie rime avec l'économie", a souligné Jean-Pascal Tricoire, PDG de Schneider Electric, et président de United Nations Global Compact, lors d'une table ronde de la Business and Climate Week, qui réunit des chefs d'entreprises venus de 50 pays, mercredi et jeudi à Paris.






Leur objectif: peser sur les négociations de la grande conférence climat de décembre à Paris, la COP21, et demander aux dirigeants politiques de les soutenir, par des politiques adaptées, dans leurs investissements et développements de solutions propres.


Pourtant, "la recherche et développement dans les énergies vertes est aujourd'hui plus faible que dans les années 1970, après le premier choc pétrolier", notent Pascal Canfin, conseiller du World Ressources Institute (WRI) et ancien ministre, et Peter Staine, négociateur climat, dans leur livre "Climat, 30 questions pour comprendre la conférence de Paris".


"Il y a sans doute certains coûts liés à l'innovation, (...) (mais) si vous ne cherchez pas à innover, vous resterez loin derrière", a expliqué à l’ADP Aaron Cramer, PDG du réseau international d'entreprises dédié au développement durable, BER (Business for Social Responsabilité), qui revendique 250 membres.


Pour lui, les innovations vertes ne sont pas différentes des autres: "Les entreprises s'adaptent en permanence à de nouveaux paradigmes. Dans les 30 dernières années, elles ont dû s'adapter à des chaînes d'approvisionnement devenues mondiales, (...) à la révolution digitale, à la révolution mobile."


"Le climat est juste l'une" de ces "perturbations", ajoute-t-il.


Ainsi, le prix des solutions plus durables, dans le solaire par exemple, ne cesse de diminuer, mais doit encore baisser, pour que ces produits soient plus largement abordables.


- Une économie, et pas un coût -


Aron Cramer voit néanmoins "énormément d'opportunités pour les entreprises à supprimer le gaspillage. Aux Etats-Unis, dans la majeure partie de l'Europe, environ un tiers de l'eau, de l'énergie et de la nourriture produites et mises en vente sont jetées et ne servent à personne. C'est une très mauvaise idée pour l'économie, mais c'est également une terrible idée pour les consommateurs, ainsi que pour les affaires, c'est juste de l'argent gaspillé".


"Le coût de la réduction des émissions de CO2 n'est pas un coût additionnel, cela fait partie de notre métier", a également expliqué le PDG de Carrefour, Georges Plassat, mercredi lors d'une table ronde.


Le patron du groupe de distribution afait état d'actions mises en place par l'entreprise et visant, par exemple, à réduire les fuites de fluides réfrigérants pour limiter la consommation, ou, dans la logistique, à mettre à jour les règles de préparation des palettes et fréquences de livraison, optimiser le volume de remplissage des camions, etc.


"Ce n'est pas un coût, c'est même une économie. On va vers un abaissement des coûts", avait renchéri Christiana Figueres, secrétaire exécutive de la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques.


"Il ne faut plus que la responsabilité soit plus chère (pour le consommateur) (...) C'est ça l'objectif véritable", avait-elle ajouté.


Marcelo Strufaldi Castelli, PDG de l'entreprise papetière brésilienne Fibra, souligne que "les consommateurs ne veulent pas payer plus pour des produits verts".


Dans un récent rapport, la commission mondiale sur l'économie et le climat explique que "les gains de productivité sur le long terme et le développement de nouveaux produits sont déterminés par les tendances dans l'innovation. Elle rend également possible la poursuite de la croissance de nos économies dans un monde aux ressources limitées".